- - Début Bmw
- - Premiers succès sur deux roues
- - Au bord du gouffre
- - Le label BMW
- - La saga du logo
- - Les grandes dates Bmw
- - Tous les modèles Bmw
Le début de Bmw
Comptant parmi les plus anciens constructeurs européens, BMW n'a pourtant rien d'un pionnier de l'automobile. Ce sont les conséquences de la Première Guerre, qui vont changer le destin de cette société aéronautique, réputée pour ses moteurs. Le Traité de Versailles, signé en 1919, interdit, en effet, aux industries allemandes de poursuivre toute activité dans les domaines militaires et aéronautiques. C'est un revers sévère pour la jeune société, qui vient de prouver une nouvelle fois sa maîtrise en matière de moteurs expérimentaux, avec un vol à l'attitude record de 9760 mètres.
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Premiers succès sur deux roues
Pour survivre, la firme doit alors impérativement diversifier ses activités. Machines agricoles, mobilier et autres fabrications de sous-traitance, occupent alors les chaînes, mais ne sauraient combler la frustration des meilleurs ingénieurs et motoristes du moment. Sous l'impulsion de Max Fritz, le directeur du bureau d'études, ils travaillent dès 1920 sur un projet de motocyclette à moteur bicylindre à plat refroidi par air et à transmission par cardan, qui aboutit trois ans plus tard à la commercialisation de la fameuse R32. Moderne, robuste, celle qui est l'ancêtre de toutes les motos produites par BMW pendant des décennies, connaît d'emblée un immense succès avec 25 000 exemplaires produits en quatre ans. Dans une Allemagne en pleine récession, tout va plutôt bien pour la marque bavaroise, d'autant que celle-ci a obtenu de la Commission d'Armistice l'autorisation de reprendre en 1924 la production de moteurs d'avion. BMW songe alors à se lancer dans l'automobile et après avoir renoncé à produire une petite traction avant, saisit l'opportunité de racheter la marque Dixi, qui produit sous licence des Austin Seven dans son usine d'Eisenach. L'accord est signé en novembre 1928 et dès le mois de janvier suivant, les petites voitures arborent le blason bleu et blanc de la marque bavaroise. Pratiques et bon marché, elles se vendent bien, mais semblent vite étriquées aux yeux des créatifs techniciens de BMW. Dès 1932, la marque rompt ses liens avec Austin et débute la production de ses propres modèles, d'abord modestes, puis bien vite, nettement plus sophistiqués avec l'adoption de moteurs six cylindres. En 1936, BMW a déjà atteint une surprenante maturité avec sa moderne gamme 326, qui établit une nouvelle référence en catégorie deux litres et son extraordinaire roadster 328, qui lui offre une renommée mondiale avec ses innombrables succès en course.
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Au bord du gouffre
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la production automobile est bien sûr suspendue et les usines qui fonctionnent à plein rendement pour la Luftwaffe sont naturellement la cible des bombardements alliés. En 1945, BMW n'est plus qu'une coquille vide et fracassée. Les chaînes d'Eisenach, en zone d'occupation soviétique, sont perdues et les usines de Munich pratiquement rasées, sont en plus "dévalisées" par les Britanniques au titre des dommages de guerre. L'histoire aurait pu s'arrêter là sans la détermination d'anciens cadres et ouvriers qui relancent une chaîne de production… d'ustensiles de cuisine. La reprise de la construction de motos en 1948 est un premier signe de redémarrage industriel et précède de trois ans celle du secteur automobile. Ne disposant ni de l'usine, ni de l'outillage nécessaire, BMW n'hésite pourtant à pas effectuer son retour sur quatre roues avec une grande berline luxueuse. Avec sa ligne compassée et son tarif prohibitif, elle ne trouve pas sa clientèle, mais BMW persiste à se fourvoyer dans cette voie sans issue avec des modèles V8 encore plus chers et invendables. Cette hâte à retrouver le prestige passé, teintée de l'arrogance de vouloir faire jeu égal avec Mercedes amène la marque au bord du gouffre d'autant plus vite qu'elle est bâtie sur un édifice encore chancelant. Soudain plus réaliste, BMW s'oriente en 1955 vers la fabrication de petites voitures populaires. Encore une fausse bonne idée. Les coûts de production ont été mal évalués et bien que vendue à plus de 160 000 exemplaires, l'Isetta creuse un peu plus le déficit. Au bord de la faillite, menacée de rachat par Mercedes, BMW trouve son salut en 1959 à travers d'un groupe d'actionnaires aussi réalistes qu'enthousiastes menés par Herbert Quandt. Financier avisé, celui-ci investit des millions de marks dans un ambitieux programme visant à construire une berline moyenne.
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Le label Bmw
Pour mieux affirmer la rupture avec ce passé chaotique, le projet intitulé "Neue Klasse" (Nouvelle Classe) se concrétise par l'apparition d'une "1500" en 1962. Imposant une image dynamique, ces berlines modernes et performantes rencontrent d'emblée un immense succès. Sur un marché particulièrement porteur –forte croissance, développement de la CEE, arrivée des jeunes générations issues du "baby boom"- BMW double la mise et remporte le banco en lançant une série sportive à deux portes, dont le succès lui ouvre les portes de la prospérité et lui donne enfin une dimension internationale. Pendant les deux décennies suivantes, pourtant marquées par les chocs pétroliers et la récession économique, BMW n'en poursuit pas moins son expansion. Avec une politique de renouvellement progressif de ses modèles, conjuguée à de constantes améliorations esthétiques et techniques, la marque n'a cessé de consolider ses positions en Europe, mais aussi réussi une spectaculaire percée aux Etats-Unis. Porté par le fantastique succès des différentes générations de la Série 3, BMW a enfin pu se donner les moyens de ses ambitions. Etoffant ses gammes, la marque est désormais présente pratiquement dans tous les segments du marché. Des modèles compacts, presque bon marché, aux luxueux hauts de gamme gavés d'électronique, en passant les séduisants roadsters et les versions "Motorsport" gavées de chevaux, BMW s'est hissé au rang des plus grands et des plus fortunés constructeurs du monde.
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La saga du logo Bmw
L'aéronautique, l'activité des origines, a laissé une profonde empreinte dans l'esprit de la marque, tout comme son implantation à Munich, capitale de la Bavière. Son emblème rappelle parfaitement bien ces racines historiques. Au centre d'un cercle noir frappé des trois lettres BMW, figure une hélice stylisée symbolisant une hélice en rotation bleue et blanche, les couleurs nationales de la Bavière. Ornant le réservoir des motos, dès 1922, puis le capot des automobiles six ans plus tard, ce logo est resté le même aujourd'hui. Au fil du temps, il n'a, en effet, subi que quelques légères retouches esthétiques: le blanc remplaçant le doré des lettres BMW, un bleu plus clair, pour l'hélice dans les années cinquante/soixante et enfin, retour à un bleu plus soutenu, accompagné d'une typologie plus moderne des caractères BMW pour la période contemporaine. Pour les modèles sportifs développés par la division Motorsport, BMW a créé en 1972 un logo spécifique. L'emblème traditionnel est au centre d'un cercle plus large reprenant les trois couleurs –bleu, rouge et bleu foncé- décorant les carrosseries blanches des voitures de compétition, alignées par l'écurie officielle.
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Les grandes dates Bmw
1916 : création de la "Bayerische Flugzeug Werke" (usine bavaroise d'aéronautique) après la fusion des sociétés "Rapp Mortorenwerke" et "Gustav Otto Motorenfabrik".
1917 : en juillet, la firme adopte le nom de "Bayerische Motor Werke" et poursuit la production de moteurs d'avions militaires.
1922 : BMW passe sous le contrôle du financier Paul Castiglioni et adopte son célèbre logo bleu et blanc.
1923 : début de la production de motos avec la R 32 qui se distingue par son bicylindre à plat et sa transmission par cardan.
1928 : BMW prend la majorité dans le capital de la firme Eisenach, qui produit sous licence une copie allemande de l'Austin Seven: la Dixi.
1933 : présentation au Salon de Berlin de la 303, première BMW dotée d'un moteur 6 cylindres.
1937 : au guidon d'une BMW, Ernst-Jakob Henne, chronométré à 279,5 km/h, établit un nouveau record du monde de vitesse sur deux roues.
1939 : une 328, carrossée en coupé par Touring, triomphe dans la catégorie deux litres aux 24 Heures du Mans et prend la 5e place au classement général.
1940 : Fritz Huschke von Hanstein – le futur directeur sportif de Porsche- enlève les "1000 Milles" sur une 328 à carrosserie profilée.
1940/1945 : les moteurs BMW équipent de nombreux avions de combat dont le fameux Focke-Wulfe 190, l'un des chasseurs, les plus rapides du conflit. En 1943, débute la production des premiers moteurs à réaction, qui seront montés sur le Messerschmitt 262.
1945 : perte de l'usine d'Eisenach qui passe sous contrôle soviétique, puis de l'état est-allemand. La production des modèles 321 et 327 se poursuit jusqu'en 1955 sous la marque EMW (Eisenach Motor Werke).
1948 : reprise de la production de motos avec la monocylindre R 24.
1951 : en avril, présentation de la 501, la première automobile de l'après-guerre.
1959 : menaces de dépôt de bilan et de rachat de BMW par Daimler-Benz.
1960 : BMW ne sera pas vendu. Le groupe est "sauvé" par les banquiers bavarois Herbert et Harald Quandt.
1962 : lancement de la "Neue Klasse" (nouvelle classe de berlines).
1965 : victoire d'une 1800 Ti aux 24 heures de Spa
1966 : rachat du constructeur allemand Glas.
1966 : Jacky Ickx-Hubert Hahne remportent les 24 Heures de Spa avec une 2000 Ti. BMW sacré Champion d'Europe "Tourisme" (Classe 2 litres).
1967 : BMW se lance en Formule 2 avec ses quatre cylindres 1.6 litres équipant des monoplaces Lola.
1968 : BMW et Dieter Quester sont Champions d'Europe "Tourisme" avec une 2002.
1969 : nouveau titre européen pour Quester et BMW, mais cette fois avec une 2002 Turbo. BMW construit ses propres châssis de Formule 2.
1970 : cinq victoires en Formule 2 pour les BMW pilotées par Ickx, Hahne, Siffert et Quester. Victoire d'un coupé 2800 CS Alpina aux 24 heures de Spa.
1972 : création de BMW Motorsport , le département compétition de la marque placé sous la direction de Jochen Neerspach.
1972 : Inauguration à la veille des Jeux Olympiques, de la "Tour BMW", le nouveau siège de la société à Munich.
1973 : retour officiel de BMW en compétition. Le coupé 3.0 CSL enlève les 24 heures de Spa et le Championnat d'Europe. Jean-Pierre Jarier est Champion d'Europe de Formule 2 sur une March BMW. Deux autre Français lui succéderont au palmarès: Patrick Depailler (1974) et Jacques Laffite (1975).
1976 : trois victoires pour les coupés CSL "Silhouettes" en Championnat du monde des marques. En France, Jean-Pierre Beltoise remporte la première édition du Championnat de France des voitures de production avec une 3.0 CSL.
1978 : les BMW 320 Turbo enlèvent le Championnat du monde des marques en catégorie 2 litres.
1979 : accord entre BMW et la société autrichienne Steyr-Daimler-Puch pour la production commune de moteurs diesels.
1979/1980 : lancement de la Série Procar, des épreuves réservées à des BMW M1, disputées en lever de rideau des Grands Prix de F1.
1981 : une monstrueuse BMW M1 Turbo de 750 ch, préparée par Schnitzer et pilotée par Hans Stück, bat à deux reprises les Porsche 935 dans le Championnat d'Allemagne.
1982 : en mars, premier Grand Prix, en Afrique du Sud, pour une Brabham F1 à moteur BMW Turbo. Première victoire, le 13 juin suivant au Canada, avec Nelson Piquet. En cinq saisons (1982-86), le 4 cylindres Turbo BMW enlèvera neuf GP avec les écuries Brabham et Benetton.
1983 : Nelson Piquet est sacré Champion du monde de F1 avec sa Brabham BMW. "L'inoxydable" Dieter Quester remporte un nouveau titre européen "Tourisme" avec une BMW 635 CSi.
1984 : inauguration de l'usine de Regensburg, destinée à absorber la demande toujours croissante en modèles de la Série 3.
1985 : création du centre "BMW Technik" voué à imaginer sans contrainte des véhicules "hors série". Les premiers travaux seront concrétisés sous la forme du roadster Z1.
1987 : Roberto Ravaglia et BMW enlèvent le premier Championnat du monde "Tourisme" avec une M3. Bernard Beguin s'impose au Tour de Corse avec une M3.
1992 : édification de l'usine de Spartanburg en Caroline du Sud. Deux ans plus tard, les premiers Z3 sortent des chaînes et BMW devient ainsi le premier constructeur européen produisant des automobiles aux Etats-Unis.
1992/93/94/95/96/97/98 : sept victoires consécutives pour BMW aux 24 heures de Spa
1994 : en février, BMW reprend Rover et en décembre, signe un accord avec le groupe britannique Vickers –propriétaire de Rolls-Royce et Bentley- pour la production commune de moteurs.
1995 : Victoire aux 24 Heures du Mans d'une McLaren F1-GTR à moteur BMW V12.
1998 : malgré l'accord avec Vickers, Rolls-Royce et Bentley passent sous le contrôle du groupe VW-Audi. Après négociations, BMW "récupère" Rolls-Royce, mais ne pourra exercer son contrôle avant le 1er janvier 2003.
1999 : victoire de la BMW V12 LMR aux 24 Heures du Mans.
2000 : revente du groupe Rover; BMW ne conserve que la marque Mini et présente la "New Mini" au Mondial de l'Automobile.
2000 : Retour en Formule 1 avec le Team Williams.
2001 : première victoire en F1 d'une Williams BMW avec Ralf Schumacher au GP de Saint-Marin.
2002 et 2003 : l'écurie BMW-Williams prend la 2e place du Championnat du monde de F1 des constructeurs.
2005 : BMW rachète l'écurie de F1 Sauber.
2007 : le Team BMW-Sauber prend la 2e place du Championnat du monde de F1 (après le déclassement de l'équipe McLaren).
2008 : victoire de Robert Kubica au GP du Canada; le Team BMW-Sauber prend la 3e place du Championnat du monde de F1.
2009 : après une saison décevante, BMW décide de se retirer de la F1. BMW remporte la Coupe du monde des Rallyes-raids.
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Tous les modèles Bmw
3/15 (1929/34) (4 cylindres – 748,5 cm3 - 5 ch – 75 km/h)
3/20 (1932/34) (6 cylindres – 788 cm3 – 20 ch – 80 km/h)
303 (1933/34) (6 cylindres – 1173 cm3 – 30 ch – 90 km/h)
309 (1934/36) (4 cylindres – 845 cm3 – 22 ch – 80 km/h)
315 (1934/37) (6 cylindres – 1490 cm3 – 34 ch – 100 km/h)
315/1 Sport (1934/36) Roadster (6 cylindres – 1490 cm3 -40 ch – 120 km/h)
319/1 Sport (1934/36) Roadster (6 cylindres – 1911 cm3 – 55 ch – 130 km/h)
319 (1935/37) (6 cylindres – 1911 cm3 – 45 ch – 115 km/h)
329 (1936/37) Cabriolet 4 places (6 cylindres – 1911 cm3 – 45 ch – 110 km/h)
326 (1936/41) (6 cylindres – 1971 cm3 – 50 ch – 115 km/h)
320 et 321 (1937/38 et 1939/41) (6 cylindres – 1971 cm3 – 45 ch – 110 km/h)
327 (1937/41) Coupé et cabriolet (6 cylindres – 1971 cm3 -55 ch – 125 km/h)
327/28 (1938/40) Coupé et cabriolet (6 cylindres – 1971 cm3 – 80 ch – 140 km/h)
328 (1937/39) Roadster Sport (6 cylindres – 1971 cm3 – 80 ch – 150 km/h)
335 (1939/41) (6 cylindres – 3485 cm3 – 90 ch – 145 km/h)
501 (1951/58) (6 cylindres – 1971/2077 cm3 – 65/72 ch – 135/145 km/h)
501 V8 (1955/61) V8 – 2580 cm3 – 95 ch – 160 km/h)
502 (1954-62) V8 – 2580/3168 cm3 – 100/120/140 ch – 160/170/175 km/h)
Isetta ( 1955/1962) Mini citadine (Monocylindre – 245/298 cm3 – 12/13 ch – 85 km/h)
600 (1957/59) (2 cylindres à plat – 582 cm3 – 19,5 ch – 100 km/h)
503 (1956/59) Coupé et cabriolet (V8 – 3168 cm3 – 140 ch – 190 km/h)
507 (1956/59) Roadster et Spider (V8 – 3168 cm3 – 150 ch – 200/220 km/h)
700/ 700 LS (1959/1965) Coupé et cabriolet (2 cylindres à plat – 697 cm3 – 30/32 ch – 120 km/h)
700 "Sport"/700 CS (1961/64) (2 cylindres à plat – 697 cm3 – 40 ch – 135 km/h)
2600 (1961/64) (V8 – 2580 cm3 – 100/110 ch – 165 km/h)
3200/3200 S (1961/63) Coupé (V8 – 3168 cm3 – 140/160 ch – 175/190 km/h)
1500 (1962/64) (4 cylindres – 1499 cm3 – 80 ch – 148 km/h)
1600 (1964/66) (4 cylindres – 1573 cm3 – 83 ch – 155 km/h)
1800/1800 Ti/1800 Ti Sa (1963/1971) (4 cylindres – 1773 cm3 – 90/110/130 ch – 162/175/186 km/h)
2000 C/2000 CS (1965/70) Coupé (4 cylindres – 1990 cm3 – 100/120 ch – 168/185 km/h)
2000/2000 Ti/2000 Tii (1966/1972) (4 cylindres – 1990 cm3 – 100/120/130 ch – 165/180/185 km/h)
1600-2 (196675) Berline 2 portes, cabriolet, "Touring" (4 cylindres – 1573 cm3 – 85 ch – 162 km/h)
1600 Ti (1967/68) (4 cylindres – 1573 cm3 – 105 ch – 175 km/h)
1802 (1971/75) Berline 2 portes et "Touring" (4 cylindres – 1766 cm3 – 90 ch – 167 km/h)
2002/2002 Ti/2002 tii (1968/75) Berline 2 portes, cabriolet et "Touring" (4 cylindres - 1990 cm3 – 100/120/130 ch – 170/185/190 km/h)
2002 "Turbo" (1973/74) (4 cylindres – 1990 cm3 – 170 ch – 210 km/h)
2500/2800 (1968/77) (6 cylindres – 2494/2788 cm3 – 150/170 ch – 190/200 km/h)
2800 CS (1968/71) Coupé (6 cylindres – 2788 cm3 – 170 ch – 206 km/h)
3.0 S/3.0 L/3.0 Si (1971/77) (6 cylindres – 2895 cm3 – 180/200 ch - 200/210 km/h)
3.0 CS/3.0 CSi (1971/75) (6 cylindres – 2985 cm3 – 180/200 ch – 210/220 km/h)
3.0 CSL (1973/75) (6 cylindres – 3153 cm3 – 206 ch – 220 km/h)
3.3 L/Li (1974/77) (6 cylindres - 3285 cm3 – 190/197 ch – 205 km/h)
1502 (1975/77) (4 cylindres – 1573 cm3 – 75 ch – 157 km/h)
Série 5 (1972/81) Berline (moteurs 4 cyl-1.8/2.0 et 6 cyl. 2.0/2.5/2.8)
M 535i (1979/81) (6 cyl.- 3453 cm3 – 218 ch – 222 km/h)
Série 3 (1975/82) Berline 2 portes (moteurs 4 cyl. 1.6/1.8/2.0 et 6 cyl. 2.0/2.3)
Série 6 (1976/89) Coupé (moteurs 6 cyl. 2.8/3.0/3.2/3.5)
M 635 CSi (1983/89) (6 cyl. – 3453 cm3 – 286 ch -255 km/h)
Série 7 (1977/86) Berline, moteurs 6 cyl. 2.8/3.0/3.2/3.5)
M 1 (1978/81) Coupé (moteur central 6 cyl. - 3453 cm3 - 277 ch - 262 km/h)
Série 5 (1982/1987) Berline (moteurs 4 cyl. 1.8, 6 cyl. 2.0/2.5/2.8/3.5 et 6 cyl. 2.4 D/TD)
M 5 (1985/87) (6 cyl. – 3453 cm3 – 286 ch – 245 km/h)
Série 3 (1983/1991) Berline 2/4 portes, break "Touring" et cabriolet Moteurs 4 cyl. 1.6/1.8, 6 cyl. 2.0/2.3/2.7 et 6 cyl. 24D/TD)
M 3 (moteur 4 cyl. - 2302 cm3 – 195/215 ch – 235/240 km/h)
Série 7 (1986/1993) Berline (moteurs 6 cyl. 3.0/3.5, V8 3.0/4.0 et V12 5.0)
Série 8 (1989/) Coupé, moteur V12 5.0/5.4/5.6 et V8 4.0/4.4)
Série 5 (1988/1995) Berline et break "Touring" (Moteurs 4 cyl. 1.8, 6 cyl. 2.0/2.5/3.0/3.5, V8 4.0 et 6 cyl. 2.4 TD)
M 5 (moteur 6 cyl. – 3535 cm3 – 315 ch – 250 km/h)
Z 1 (1988/91) Roadster (moteur 6 cyl. – 2494 cm3 – 170 ch – 220 km/h)
Série 3 (1990/1997) Berline 2 et 4 portes, coupé, cabriolet et break "Touring" (Moteurs 4 cyl. 1.6/1.8/2.0, 6 cyl. 2.5/2.8/3.0 et 6 cyl. 2.5 TD)
M 3 (6 cyl. 3.0/3.2 – 286/321 ch)
Série 3 "Compact" (1994/2003) Berline 3 portes, moteurs 4 cyl. 1.6/1.8, 6 cyl. 2.5 et 1.8 TD Série 7 (1994/2001) Berline, moteurs 6 cyl. 2.8, V8 3.5/4.4, V12 5.4 et TD 6 cyl. 2.5/3.0 + V8 4.0 Z 3 (1996/2002) Roadster et Coupé, moteurs 4 cyl. 1.8/1.9 et 6 cyl. 3.0/3.2 Série 5 (1996/2002) Berline et break "Touring" Moteurs: 6 cyl. 2.0/2.2/2.5/3.0, V8 3.5/4.4 et TD 4 cyl. 2.0/6 cyl. 2.5/3.0 M 5 : V8 – 5.0 – 400 ch – 250 km/h - Série 3 (1998/2004) Berline, coupé, cabriolet, break "Touring" Moteurs: 4 cyl. 1.9, 6 cyl. 2.2/2.5/3.0 et TD 4 cyl. 2.0/6 cyl. 3.0 M 3 : 6 cyl. – 3.2 – 343 ch -250 km/h X 5 (1999/2006) 4 x 4, moteurs 6 cyl. 3.0, V8 4.4/4.6, V12 6.0 et 6 cyl. 3.0 TD Z 8 (2000/2002) Roadster, moteur V8 – 4941 cm3 – 400 ch – 250 km/h)
Série 7 (2002/2007) Berline, moteurs 6 cyl. 3.0, V8 3.6/4.4, V12 6.0 et TD 6 cyl. 3.0 + V8 4.0)
X 3 (2003/...) 4x4, Moteurs 4 cyl. 2.0, 6 cyl. 2.5/3.0 et TD 4 cyl. 2.0 + 6 cyl. 3.0)
Série 5 (2003/...) Berline et break "Touring" (Moteurs: 4 cyl. 2.0, 6 cyl. 2.5/3.0, V8 4.0/4.4/4.8 et TD 4 cyl. 2.0 + 6 cyl. 2.5/3.0/3.5)
M 5 (V10-5.0-507 ch)
Série 6 (2003/...) Coupé et Cabriolet (moteurs: 6 cyl. 3.0, V8 4.4/4.8 et TD 6 cyl. 3.0)
M 6 (V10-5.0-507 ch)
Z 4 (2003/2008) Roadster et Coupé (moteurs 4 cyl. 2.0 et 6 cyl. 2.5/3.0/3.2
Série 1 (2004/...) Berline compacte 3/5 portes, coupé et cabriolet (Moteurs 4 cyl. 1.6/2.0, 6 cyl. 3.0 et TD 4 cyl. 2.0/2.3)
Série 3 (2005/...) Berline, coupé, cabriolet et break "Touring" (Moteurs: 4 cyl. 1.6/2.0, 6 cyl. 3.0, V8 4.0 et TD 4 cyl. 2.0 + 6 cyl. 3.0)
M 3 (V8 3999 cm3 – 420 ch – 250 km/h)
X 5 (2007/...) 4x4, moteurs 6 cyl. 3.0, V8 4.4/4.8 et TD 6 cyl. 3.0)
Série 7 (2008/...) Berline, moteurs 6 cyl. 3.0, V8 4.4, V12 6.0 et TD 6 cyl. 3.0)
X 6 (2008/...) 4x4, moteurs 6 cyl. 3.0, V8 4.4 et TD 6 cyl. 3.0/3.5)
Z 4 (2009/...) Roadster, moteurs 6 cyl. 2.5/3.0)
X 1 (2009/...) 4x4, moteurs 6 cyl. 3.0 et TD 4 cyl. 2.0)
Série 5 "Gran Turismo" (2009/...) "Coupé/berline", moteurs 6 cyl. 3.0, V8 4.4 et TD 6 cyl. 3.0)
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